Depuis plus 500 ans Melilla est une enclave autonome espagnole au nord-est du Maroc. Une petite ville de 12km2, composée de 70% de marocains et 30% d´espagnols.

Les habitants ont des doubles nationalités, le gouvernement est dirigé par des espagnols.
Une ville entourée de trois barrières successives d´une hauteur de 6 mètres chacune et bien prepare pour ne pas permetter aux autres d’ entrés dans la ville de Melilla.

Une ville où existe un centre temporaire pour ces personnes qu´ils empêchent d´entrer ( les Immigrants). Dans ce centre il y apparait de 800 a 900 immigrants comme moi qui sont venus de très loin d’un peut partout dans le monde a la recherche de mêmes choses que tout le monde (le bonheur). Nous somme retenue dans ce centre du ville et attend les mêmes objectifs (quitter Melilla), mais comment quitte? Cela depend du gouvernement espagnol donc sans argent et sans travaille nous devrons attendre jusqu’à nouvelle ordre.
Voila une ville qui attire toujours les immigrants mais ils y passent tout leurs temps a souffrir. La plus part de la population n´aime pas les immigrants ce qui crée du mal a l’aise tout les jours quand nous somme a la rue. Le regard de ces gens simplement fait souffrir. Mais le fait qu’ils ne nous aiment pas ne change rien parce que la décision vient de l´Espagne et tres rarement Melilla decide.

Dans cette ville nous somme autorisé a être libre pendant tout notre durée de séjour durant toute les journees de 6heure a 23:30h. Pour pouvoir survivre, durant ces moments de liberté, avec nos petite carte petite carte du centre qui nous permet d’identificasion, d’ etre en règle dans la ville mais avec des limités.

Durant les journées, nous sortons du centre pour aller a la recherche de sous pour notre besoins (achaté des vêtements et appele a la famille). Pour cela, nous somme obliger de travaillés au noir sous le regard des policiers simplement pour obtenir une petite somme comme 5 euro ou 10 centime par jour .
Qu’ est qu’ il s’agit de faire: c’est de laver les voitures pour gagner 3 euros par voiture, de controler les voitures dans les parking a 5 cent ou plus, et d’ aider a transporter des choses lourdes en étant mal payé et parfois en ne recevant rien, parfois même pas un merci. C’est un abus terrible et dégradant pour nous.
Sur 12 Km², les immigrants restent comme ça un peut partout dans la ville a la recherche leurs petit boulot.

Dans ces mauvaises conditions, nous restons pendant ces trois ans ou plus pour etre transporté chez nous ou bien par chance nous sommes expulsé, mais sur le continent espagnol sans papier avec des ordres d’expulsion. Encore plus loin de chez nous….Ceci rends le retour… »volontaire » encore plus impossible.